1. |
Un autre visage
01:32
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2. |
Accablé
02:37
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3. |
Gare 135
04:21
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Entrée, ville
Gare 135
Falaises tombées
Forêts brulées
Des cloques aux poignets
Genoux brisées
Gardiens des couloirs
Un homme est passé
Mille autres
Semblait-Ils aller
Autre part?
Faut-il aller
Autre part?
Pardonnez moi,
Je crie parfois..
Pourquoi tout ses bras
Viennent-ils vers moi?
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4. |
Canal
03:58
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Mon corps est comme frapé par des vagues
Le long du canal d’autrefois
Pourquoi ce visage ne dit rien?
Pourquoi du miroir tout s’est éteint?
Pour crocheter des âmes
Aux reflets blafards
Le silence des grands barrages
Des nuits lumière opaque
Devrait-on garder ces bouquets de chaires?
Devrait-je garder ces passions obscènes?
J’aimerait te voir parfois
Appèle moi quand tu pourras
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5. |
Crane
03:10
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Un jour, deux nuits
Trois bars, l’envie
De jour, l’ennuie
Faites sonner ici
Ma terrible empathie
Quinze grammes, deux litres
Souris moi amie
C’est mon crâne que j’ai rempli
J’ai du grand désastre liquide
Sortez moi fébrile
Voici ma journée type.
Deux jour, une nuit,
Un bar l’ennuie
Toujours l’envie
Faites moi une place que j’aille au paradis
Souris moi ami.
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6. |
Le prince des mouches
05:04
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Je construirais un royaume
Où je serais roi
A quoi me sert de gouverner sans toi?
Au bagnes des grands serpents de fer,
Des méandres, j’ai déjà posé les pierres
Des cris qui volent parfois en bas
Des fauves, des insectes qui s’écrasent contre moi
Mon visage est cassé
Aucun pardon
INFECT EST MON EMPIRE
Le prince des mouches est égard
Des taches noir survolent ses yeux cassés
La puanteur naissante émerge du nuage de mépris
Dans la merde il se nourri pour survivre
Régale toi d’amour
Apprivoise de non-sens
Régale toi de mes mes yeux
Le jute ne coule plus
Presse le pas
Le temps se perd pour toi
Un magnifique festin
Le simple résultat
Il n'y a plus rien
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7. |
Centre
02:42
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8. |
Centre
02:42
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9. |
Dénudé
03:47
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10. |
Garage
03:48
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Ce sont mes plus grandes funérailles
Moi qui suis mort maintes fois
La ville autour de moi
Dans ma bouche des tenailles
Un bûcher de cent dames
La gorge en abreuvoir
Nous sommes perdus parfois
Je veux être comme tout le monde
Eviter les hangars
Des cierges aux creux des mains
Pour creuser les montagnes
Je veux être comme tout le monde
Aimer les grandes batailles
Pleurer pour une médaille
Pour un désir sans failles
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11. |
Pavillon
04:39
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Au bord de la route
Des haillons murmurent
J’ai pêcher un courant d’eau pure
Que j’ai emmené pour cacher au mains de ceux
Vêtus de draps de myrte
Camouflé en dieux
Un pavillon d’ivoire réside en bas
Un toit pour le caché
D’une indécente fumée
Combien de temps suis-je rester
A attendre une barque
Mon faux cuire a lisser
Poli ma langue de nacre
Combien de temps suis-je rester
A attendre une barque
Des mois?
Des années?
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12. |
Mve Ai
04:33
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13. |
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14. |
Exile
03:38
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